Habitat de l'Univers et évolution des galaxies dans cet habitat

Cinq milliards d'années est l'âge estimé de notre système solaire et de la Terre, sa représentante, figurant le Sel, le sodium (Na) composé de onze éléments (11 protons).
Il a fallu un Temps donné de création pour parvenir à cette composition.

L'étoile Véga, nous le savons, est notre locomotive. Elle indique un pôle nord et nous entraîne, tel un train sans gare, à la vitesse actuelle de 20 km/seconde, vers les limites de l'Univers, en accélérant et en se modifiant.
C'est à la vitesse de la lumière, soit 300.000 km/seconde que nous atteindrons le fin fond de notre habitat.



Connaissant notre vitesse actuelle, nous pouvons donc calculer le temps que mettra notre système pour parvenir aux limites de l'Univers, sachant que cette vitesse augmente au carré en fonction de l'unité de temps décomptée en milliards (5).
Cette unité est, pour notre Univers, le temps qu'il a fallu pour parvenir à une prise de conscience de la vie de notre système et de son utilité.
Tout système doit atteindre, par l'intermédiaire de ses espèces et de leur évolution, une forme que nous appelons "intelligence" mais en réalité, mémoire du réalisé.

Cinq milliards d'années est donc le temps qui a été nécessaire pour préparer une compréhension fugace mais fulgurante réalisée en quelques siècles par tâtonnements, espérance et souvent souffrance.
Cette compréhension est devenue incompréhension lorsque la mémoire fût prise en compte par l'homme qui a cru, en paranoïaque, avoir tout inventé, alors que tout existait déjà dans la nature.

Si nous faisons l'opération inverse:
√300.000 km/seconde on obtient: 547 km/seconde.
En prenant √547, le résultat est de 23,4 km/seconde, temps très proche de notre vitesse actuelle.
Puisqu'il a fallu, pour notre système, attendre cinq milliards d'années, on en déduit que la distance totale peut s'estimer à quinze milliards d'années lumière, soit 5 x 3.

La vitesse intermédiaire de 547 km/seconde serait atteinte au bout de dix milliards d'années, c'est à dire le carré de notre vitesse, cinq milliards d'années étant le laps de temps considéré comme l'unité de Temps et de Mémoire au terme duquel l'être intelligent devait apparaître.

Si l'on peut comparer la formation de notre système SEL (onze éléments dans l'échelle de Mendeleïev), à celle de la formation d'un système représentant l'uranium (92 éléments sur la même échelle), on constate que le coefficient est de ± 8, soit environ: ±40 milliards d'années.

Or, la vitesse augmentant au carré par unité de temps vers le but final qui est l'énergie pure, nous pouvons calculer, en fonction de l'uranium existant dans la Terre, le temps qui s'écoulerait pour qu'elle se transforme en ce minerai, la loi de progression étant similaire à celle de la vitesse selon la formule E = MC2. Et sachant que, plus il y aura de particules lourdes, plus le temps sera bref.
Donc notre système sera transformé en uranium bien avant son arrivée aux limites de l'Univers.
Il pourra être comparé à un seul et même amas d'énergie immense, identique à notre galaxie qui sera elle-même multipliée dans la même proportion.
Les galaxies iront donc toutes à la vitesse limite percuter l'enveloppe de l'Univers, réalisant derrière elles le vide absolu et l'implosion finale qui, instantanément, créera le Néant par dissolution de la matière ; et cette dernière, dissoute par ce néant, avec la mémoire pour compagne, afin de créer un autre monde dans une autre dimension.

Lors du bang initial, la création de l'habitat s'est réalisée à partir d'une polarité positive qui, se propageant dans le vide, a créé l'habitat de notre Univers, sphère dont les contours intérieurs sont des pôles négatifs.
Il n'y a rien à l'extérieur de cette sphère: c'est l'inexistant, sans polarité et sans identité.
Le point créé étant positif, le déplacement sera la représentation du négatif. Dans une particule inerte, il n'y a pas de polarité.
C'est le déplacement qui l'engendre.

Notre habitat est meublé de ces particules inertes.
L'Univers se dirigeant vers sa périphérie, le pôle initial se propage et se décale vers le négatif par attirance et affinité, créant par son départ un vide plus poussé.
Actuellement, le centre de l'Univers n'est donc plus polarisé.
Ce centre s'agrandira, s'enflera démesurément jusqu'à la limité de l'habitat où positif et négatif seront à égalité.
Leur jonction marquera le point final, les pôles positifs étant les lanternes rouges de notre train cosmique.
Le positif n'existe qu'en fonction du négatif: il est logique qu'il suive la matière en expansion, mais il ne la dépassera jamais.

Ce principe explique aussi l'accélération constante, en raison de l'affinité des pôles opposés, accélération qui atteindra la vitesse de la lumière.
Cela explique également que les mondes, matières positives, ne se heurtent pas puisque de même polarité.
Par l'attraction conjuguée du déplacement et de la rotation, ils font partie de l'attraction et restent en orbite: ainsi s'explique aussi la loi de gravitation.

Cette loi de création cosmique étant naturelle, elle peut s'expliquer physiquement. Elle n'exclut pas Dieu mais exclut le hasard car, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, TOUT n'est que répétition.

Si nous prenons des aimants, nous savons que le magnétisme résultant cherchera à se "boucler", limitant ainsi sa fonction.
Nous pourrions penser créer un aimant sphérique dont le centre serait positif et dont la sphère complémentaire serait négative. Nous verrions alors que cet aimant, en fonction de cette loi, s'annulerait. Le positif remplacerait et annulerait le négatif.
Le seul résultat obtenu serait un échauffement important de la sphère.

Tout déplacement laisse supposer un point de départ et un point d'arrivée dont les opposés seront les pôles positifs et négatifs.
Un rayon lumineux se perdant dans le vide, restera visible tant que les deux extrémités ne seront pas réunies. Donc, la vitesse est fonction des polarités.
Le photon est, pour notre système, le plus rapide: il est donc négatif.

Cette loi de polarité explique que la Terre est fixe dans la polarité négative (pôle nord) et dans sa trajectoire vers le nord cosmique dont la référence est Véga de la constellation de la Lyre ainsi que mentionné au début.
Le pôle nord de la Terre suit le pôle de trajectoire de l'Univers ce qui veut dire que la position de notre Terre, nord-sud, n'est pas du tout due au hasard mais obéit bien à l'ordre cosmique.

Le pôle directionnel du système solaire est approximativement défini par le 45ème parallèle, 90° moins 2 fois l'écliptique, l'angle de cette dernière oscillant d'environ 3° en 40.000 ans.
Il est un méridien d'origine.

La position de Véga par rapport à notre pôle nord qui varie suivant la précession des équinoxes, explique que, périodiquement la Terre peut basculer et changer de direction magnétique, mais uniquement dans le cadre de cet angle maximal.

N.B. - L'ordinateur pourra effectuer tous les calculs nécessaires qui prouveront aisément ces lois, alors que l'homme seul parlerait d'utopie.
C'est l'ordinateur qui, paradoxalement, va démystifier les théories actuelles puisqu'il est, lui, sans parti-pris
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